Le match de Ligue 1 entre le Stade Rennais et l’Olympique Lyonnais a été marqué par des erreurs d’arbitrage controversées, notamment une faute grave d’Anthony Rouault sur Khalis Merahen qui n’a pas été sifflée en première période. L’arbitre central, Ruddy Buquet, n’a pas sanctionné cette action, et l’arbitre vidéo, Stéphanie Frappart, a initialement jugé que la faute ne méritait pas un carton rouge. Cependant, la Direction de l’arbitrage de la FFF a publié un communiqué contredisant cette décision, affirmant que la faute de Rouault était clairement dangereuse et aurait dû entraîner une expulsion. La phrase de Frappart, “C’est haut mais ça ne reste pas, ça glisse”, est devenue virale sur les réseaux sociaux, suscitant l’amusement du capitaine lyonnais, Corentin Tolisso.
La FFF a confirmé l’erreur de jugement de Stéphanie Frappart, soulignant que la faute de Rouault a directement impacté la cheville de Merahen et mettait en danger son intégrité physique. L’assistance vidéo à l’arbitrage était attendue pour cette action, et sa non-intervention est vivement critiquée. La FFF a également justifié la décision d’expulsion concernant Tyler Morton, qui a commis un tacle dangereux par derrière, en la considérant comme une faute grossière. Malgré ces erreurs d’arbitrage, l’Olympique Lyonnais s’est incliné 3-1 face à Rennes, avec Anthony Rouault inscrivant même le but égalisateur en seconde période.
Cette défaite a exacerbé la frustration de l’Olympique Lyonnais, qui a contesté l’arbitrage suite à plusieurs faits de jeu controversés. La publication du communiqué de la FFF a confirmé les doutes de l’OL et a alimenté le débat sur l’efficacité de l’assistance vidéo à l’arbitrage. L’incident a également mis en lumière le rôle des réseaux sociaux dans la diffusion et la viralité des commentaires des arbitres, comme celui de Stéphanie Frappart. En fin de compte, la journée s’est soldée par une défaite pour Lyon, malgré la confirmation de l’erreur d’arbitrage sur la faute non sifflée de Rouault.