L’arrivée de LucasPerria à l’Olympique Lyonnais a été largement saluée, contrastant fortement avec le passage d’Adryelsona, qui s’est avéré être un échec. Ce défenseur brésilien, arrivé en janvier 2024 en même temps que son compatriote, n’a jamais réussi à s’imposer dans l’équipe. Après seulement quatre matchs joués en six mois sous la direction de PierreSage, il a été prêté à Botafogo dans l’espoir de relancer sa carrière. Cette expérience s’est révélée positive, car il a remporté la Copa Libertadores et le championnat brésilien. Cependant, ces succès n’ont pas suffi à convaincre l’OL de lui offrir une nouvelle opportunité entre janvier et juin 2025.
Prêté à Anderlecht, Adryelsona n’a pas réussi à convaincre les dirigeants belges de déclencher l’option d’achat de six millions d’euros. De retour à Lyon, le défenseur a intégré le groupe en reprenant l’entraînement avec ses coéquipiers lundi dernier. Malheureusement, son aventure lyonnaise s’est achevée après seulement quatre matchs, avec sa vente à Al Wasl. Ce départ s’est concrétisé pour un montant bien inférieur à l’option d’achat envisagée par Anderlecht quelques semaines auparavant. Le club des Émirats arabes unis n’a déboursé que 2,2 millions d’euros, incluant 900 000 euros de bonus.
Malgré cette cession, l’Olympique Lyonnais conserve un intérêt de 50% sur une éventuelle revente future d’Adryelsona. Cette clause pourrait potentiellement augmenter le prix final de la transaction. L’histoire d’Adryelsona illustre la complexité des transferts et les risques inhérents aux prêts, où les performances ne se traduisent pas toujours par des opportunités permanentes. Pour l’OL, cette clause de revente représente une sécurité financière et une possibilité de récupérer une partie de l’investissement initial.